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Le simple fait de connaître la possibilité de faire le bien entraîne notre responsabilité devant cette éventualité. Notre liberté devient totale; notre conscience se sent en conséquence obligée. Toutefois, par le pouvoir de cette même liberté, les êtres que nous sommes peuvent refuser le discours de la conscience. La condamnation devient dès lors absolue: du dehors, par la déception de Dieu face à notre rejet, et de l'intérieur, en se condamnant soi-même par le refus de la grâce de faire le bien. Car faire le bien fait du bien (nous fait du bien) et faire le mal fait du mal (nous fait du mal).
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Dieu, donne-nous la grâce de faire tout le bien que tu souhaites, amen.
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