Pareillement, vous, maris, menez la vie commune en tenant compte de la nature plus délicate de vos femmes; montrez-leur du respect, portez-leur honneur, puisqu’elles doivent hériter avec vous de la grâce de la vie, afin que rien n’entrave vos prières. (1P 3,1-7)
mardi 22 juillet 2008
La parole du jour, Épitre de Pierre, mardi 22 juillet 2008
Pareillement, vous, femmes, soyez soumises à vos propres maris, afin que, même s’il y en a qui n’obéissent pas à la parole, ils soient gagnés sans parole, par la conduite de leurs femmes, en considérant votre conduite pure et respectueuse. Que votre parure ne soit pas extérieure: cheveux tressés, bijoux d’or, beaux vêtements; mais qu’elle soit la disposition cachée du cœur, dans l’incorruptibilité d’un esprit doux et paisible qui est d’un grand prix devant Dieu. Car c’est ainsi que jadis se paraient aussi les saintes femmes qui espéraient en Dieu, étant soumises à leurs propres maris, comme Sara obéissait à Abraham, l’appelant seigneur, de laquelle vous êtes devenues les enfants, en faisant le bien et en ne se laissant troubler par aucune frayeur. ***
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